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DWatch calls on inquiry to call key witnesses, ask key questions during fact-finding phase

Loopholes in election, donation and spending, lobbying and ethics rules make secret, unethical foreign interference and misinformation legal

Loopholes and weak, partisan enforcement mean it’s impossible to know extent of interference during past elections or since then, or to stop it

FOR IMMEDIATE RELEASE:
Thursday, March 28, 2024

OTTAWA – Today, Democracy Watch released the list of 10 key witnesses and about 140 key questions to ask them that it has submitted to the Hogue Inquiry into Foreign Interference in Canadian politics.  Democracy Watch is an intervener in the Inquiry and is represented at the Inquiry by Wade Poziomka and Nick Papageorge of Ross & McBride LLP.

About half of the questions are for the Chief Electoral Officer of Elections Canada, and the Commissioner of Canada Elections, both of whom are testifying today.

The questions are aimed mainly at revealing the many loopholes in Canadian federal election, donation and spending, lobbying and ethics laws, and the lack of independent, effective enforcement of those laws.

The loopholes in the laws make secret, unethical foreign interference and misinformation activities legal, so no watchdog is even monitoring the activities, which makes it impossible to determine the extent of interference in the 2019 and 2021 elections, or before or after those elections up to now, or to stop the interference.

Almost all the watchdogs who are supposed to enforce the few effective rules that exist are chosen in secret by the ruling party Cabinet, many of them serve at the pleasure of the Prime Minister or Cabinet ministers, most don’t do inspections or audits, most are not required to issue public rulings on every allegation they investigate, and in many cases there are no penalties for violating the laws.

As a result, their enforcement is weak and ineffective and does little to discourage violations.

“A foreign-agent registry will not be enough to stop foreign interference in Canadian politics, especially if it is full of loopholes,” said Duff Conacher, Co-founder of Democracy Watch. “Last year the lobbying commissioner gutted ethical lobbying rules, and MPs added a loophole to their ethics code so foreign-sponsored lobby groups can sponsor intern spies in their offices.  Those changes, combined with the existing loopholes and flaws in Canada’s election, political donation and spending, lobbying and ethics laws, make it even easier than it was in the past for foreign governments, businesses and organizations to influence Canadian politics and politicians in secret, including by making false claims on social media sites.”

“All our key democracy laws, including laws that claim to be aimed at stopping foreign interference, are enforced by weak lapdogs who are handpicked by the ruling party Cabinet, and they operate largely in secret and lack powers and accountability for doing their jobs properly,” said Conacher.

Click here to see the Backgrounder that summarizes all the loopholes and weak enforcement problems that make foreign interference legal and easy to do.

Click here to see summary list of 17 key changes to stop foreign interference.

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FOR MORE INFORMATION, CONTACT:
Duff Conacher, Co-founder of Democracy Watch
Tel: (613) 241-5179
Cell: 416-546-3443
Email: [email protected]

Democracy Watch’s Stop Foreign Interference in Canadian Politics Campaign, Stop Secret, Unethical Lobbying Campaign, Government Ethics Campaign, Money in Politics Campaign, Honesty in Politics Campaign, and Stop Fake Online Election Ads Campaign

Les lacunes dans les règles relatives aux élections, aux dons et aux dépenses, au lobbying et à l’éthique rendent légales les ingérences étrangères secrètes et contraires à l’éthique ainsi que la désinformation

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Les lacunes et l’application faible et partisane signifient qu’il est impossible de connaître l’étendue de l’ingérence lors des élections passées ou depuis, ou d’y mettre fin

Pour diffusion immédiate:
Jeudi 28 mars 2024

OTTAWA – Aujourd’hui, Democracy Watch a publié la liste de 10 témoins clés et environ 140 questions clés à leur poser qu’elle a soumise à l’enquête Hogue sur l’ingérence étrangère dans la politique canadienne. Democracy Watch est un intervenant dans l’enquête et est représenté à l’enquête par Wade Poziomka et Nick Papageorge de Ross & McBride LLP.

Environ la moitié des questions s’adressent au directeur général des élections d’Élections Canada et au commissaire aux élections fédérales, qui témoignent tous deux aujourd’hui.

La moitié des questions s’adressent au directeur général des élections d’Élections Canada et au commissaire aux élections fédérales.

Les lacunes dans les lois rendent légales les activités secrètes et non éthiques d’ingérence étrangère et de désinformation, de sorte qu’aucun organisme de surveillance ne contrôle même ces activités, ce qui rend impossible de déterminer l’ampleur de l’ingérence dans les élections de 2019 et 2021, ou avant ou après ces élections jusqu’à présent, ou de mettre fin à l’ingérence.

“Un registre des agents étrangers ne suffira pas à mettre fin à l’ingérence étrangère dans la politique canadienne, surtout s’il est truffé d’échappatoires”, a déclaré Duff Conacher, cofondateur de Democracy Watch. “L’année dernière, le commissaire au lobbying a vidé de sa substance les règles éthiques du lobbying, et les députés ont ajouté une faille à leur code d’éthique pour que les groupes de pression parrainés par l’étranger puissent parrainer des espions internes dans leurs bureaux. Ces changements, combinés aux lacunes et failles existantes dans les lois canadiennes sur les élections, les dons et dépenses politiques, le lobbying et l’éthique, font qu’il est encore plus facile que par le passé pour les gouvernements, entreprises et organisations étrangers d’influencer la politique et les politiciens canadiens en secret, y compris en faisant de fausses déclarations sur les sites de médias sociaux.”

L’année dernière, le commissaire au lobbying a vidé de leur substance les règles de l’éthique du lobbying.

“Toutes nos principales lois sur la démocratie, y compris celles qui prétendent viser à mettre fin à l’ingérence étrangère, sont appliquées par de faibles chiens de poche triés sur le volet par le cabinet du parti au pouvoir, qui opèrent en grande partie dans le secret et n’ont pas les pouvoirs ni la responsabilité de faire leur travail correctement”, a déclaré M. Conacher.

Cliquez ici pour voir le document d’information qui résume toutes les failles et les problèmes d’application qui rendent l’ingérence étrangère légale et facile à réaliser.

Cliquez ici pour voir le document d’information qui résume toutes les failles et les problèmes d’application qui rendent l’ingérence étrangère légale et facile à réaliser.

Cliquez ici pour voir la liste récapitulative des 17 changements clés pour mettre fin à l’ingérence étrangère.

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POUR PLUS D’INFORMATIONS, CONTACTEZ:
Duff Conacher, Co-fondateur de Democracy Watch
Tel : (613) 241-5179
Cell : 416-546-3443
Email : [email protected]

La campagne de Démocratie en surveillance Mettre fin à l’ingérence étrangère dans la politique canadienne, Mettre fin au lobbying secret et contraire à l’éthique, Campagne d’éthique gouvernementale, Campagne sur l’argent en politique, Campagne d’honnêteté en politique, et Campagne Stop aux fausses publicités électorales en ligne

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