
Il existe un club d’élite qui dirige le Canada : les SuPremos. Ils sont presque tout-puissants, sans contrôle de personne et limités par peu de lois. Même la Constitution ne les empêche pas d’abuser de bon nombre de leurs pouvoirs. La plupart des organismes de surveillance ne peuvent les toucher, et leurs actions suscitent souvent la peur chez les Canadiens.
Les SuPremos ont le pouvoir de prendre des décisions qui peuvent modifier le coût de tout ce que vous payez, et peuvent influencer la qualité de l’air que vous respirez et de l’eau que vous buvez, le type de voiture que vous pouvez acheter, le type de vêtements que vous pouvez acheter, ce que vous avez le droit de manger et de boire, et bien d’autres aspects de votre vie.
Leurs abus de pouvoir ne pourront être stoppés que si des milliers et des milliers de personnes agissent dès maintenant !
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Campaign News
Read all campaign newsINFOS CLÉS SUR LES SUPREMOS
Les SuPremos sont un groupe de personnes influentes aux liens étroits. Nombre d’entre eux (appelés « premiers ministres ») contrôlent un réseau de partisans dans une province, appelés députés provinciaux ou provinciaux, et un membre national (appelé « premier ministre » ou « PM »), qui contrôle deux groupes de partisans provenant de toutes les régions du Canada : les « députés » et les « sénateurs ».
Presque tous disposent d’un pouvoir considérable, même si seule une minorité d’électeurs les soutient (et même nombre de ces électeurs s’inquiètent de leurs abus de pouvoir).
Il y a de l’espoir pour que des changements soient apportés à la campagne Stop the SuPremos – les clubs d’élite qui dirigent la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et de nombreux autres pays ont vu une grande partie de leurs pouvoirs restreints par des règles écrites claires. Ils sont donc bien plus sous le contrôle des politiciens locaux, qui sont plus libres et habilités à représenter les intérêts des électeurs que les politiciens canadiens.
Une grande majorité de Canadiens souhaitent que les pouvoirs des SuPremos soient restreints. Un sondage national mené auprès de plus de 2 000 Canadiens par Harris-Decima en novembre-décembre 2012 a révélé que 84 % des adultes canadiens souhaitent des règles exécutoires pour restreindre les pouvoirs clés du premier ministre et des premiers ministres provinciaux. De plus, un sondage national mené auprès de 1 007 Canadiens par Environics en mai 2013 a révélé que 71 % souhaitent des restrictions légales aux pouvoirs des chefs de parti afin de garantir aux politiciens de chaque parti davantage de pouvoir et de liberté pour représenter les électeurs.
Au Canada, il existe déjà des exemples de restrictions des pouvoirs des SuPremos. Dans certaines régions du Nord appelées le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest, les clubs des premiers ministres ont été démantelés (il n’y a pas de partis politiques dans ces deux territoires) et ils ne peuvent pas imposer de décisions à leurs partisans (les assemblées législatives de ces deux territoires prennent leurs décisions par consensus).
Les SuPremos se réunissent rarement, à huis clos, et prennent des décisions secrètes concernant vous, votre famille et le pays ; ils n’invitent généralement que les lobbyistes des grandes entreprises à se joindre à eux. Ces dernières années, le premier ministre n’a même pas assisté à ces réunions, préférant s’entretenir secrètement en tête-à-tête avec différents premiers ministres.
Le pouvoir des SuPremos est tel qu’ils peuvent généralement choisir qui ils veulent pour diriger des centaines d’organisations qui contrôlent de nombreux aspects de la vie des Canadiens. Ils peuvent également contrôler les activités de ces organisations et dicter les règles qu’elles imposent à vous, à votre famille et à tous les Canadiens.
Et ils peuvent faire tout cela sans jamais vous demander votre avis, ignorant les faits ou les preuves qu’ils souhaitent, et quand ils le souhaitent.
Comment les SuPremos contrôlent-ils leurs subordonnés, les politiciens connus sous le nom de députés, sénateurs, députés provinciaux et provinciaux ? Tous, à l’exception des sénateurs, sont élus, et les SuPremos ont tous le pouvoir légal de leur interdire de se présenter aux prochaines élections.
En raison de règles vagues, faibles ou inexistantes, les SuPremos peuvent même maintenir la fermeture du Parlement après une élection, ou le fermer à leur guise (le premier ministre Harper et les premiers ministres Clark, McGuinty et Dunnderdale l’ont tous fait ces dernières années).
Les SuPremos sont contestés partout au pays par d’autres clubs dirigés par des politiciens qui convoitent leurs pouvoirs. On les appelle « les partis d’opposition ». Actuellement, le seul pouvoir des chefs de l’opposition est le contrôle des politiciens de leur club (aussi appelés députés, MAL ou MNA). Mais ils veulent plus : ils veulent avoir le pouvoir de vous imposer les lois qu’ils veulent ; nommer qui ils veulent à des organisations qui contrôlent votre vie ; ouvrir le Parlement et le fermer quand ils le souhaitent.
Certains chefs de l’opposition ont promis d’agir différemment s’ils prenaient le pouvoir et devenaient SuPremo, mais aucun d’entre eux n’a promis de modifier la Constitution ou les lois pour s’assurer qu’ils ne puissent pas abuser de leur pouvoir de SuPremo. Tout comme les SuPremos, il faut les inciter à adopter des règles strictes pour restreindre leurs pouvoirs et mettre fin aux abus.
Ce ne sera pas facile – rien de ce qui en vaut la peine ne l’est jamais – mais ensemble, nous pouvons restreindre les pouvoirs des SuPremos et mettre fin à leurs abus.
N’oubliez pas que presque tous les autres pays du monde ont pris des mesures pour mettre fin aux abus de clubs d’élite similaires (et le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest l’ont également fait). La plupart d’entre eux ont inscrit dans leur constitution des mesures limitant les pouvoirs de leurs SuPremos ; d’autres n’ont pas apporté de changements aussi stricts, mais ils ont au moins rédigé des règles pour restreindre leurs pouvoirs de manière essentielle.
Veuillez soutenir cette campagne jusqu’à ce que ces changements clés visant à mettre fin aux abus de pouvoir des premiers ministres soient obtenus. Pour faire un don maintenant, veuillez cliquer ici.