
Le commissaire à l’intégrité de l’Ontario a laissé des dizaines de lobbyistes s’en tirer à bon compte, même s’ils ont clairement enfreint la loi ontarienne sur le lobbying en omettant de divulguer leurs activités de lobbying ou en collectant des fonds ou en faisant campagne pour des politiciens, puis en les sollicitant peu après.
Démocratie en surveillance a déposé plus de 15 poursuites pour contester ces mauvaises décisions du commissaire à l’intégrité et a besoin de votre soutien dès maintenant pour empêcher le commissaire de se livrer à des activités de lobbying secrètes et contraires à l’éthique.
Le processus de nomination des juges, des organismes, des conseils, des commissions et des tribunaux de l’Ontario est également trop contrôlé par le Cabinet du parti au pouvoir, ce qui transforme tous ces agents de la force publique en chiens de garde partisans et politiques plutôt qu’en chiens de garde impartiaux et efficaces. Démocratie en surveillance intente également des poursuites judiciaires pour contester les processus de nomination défectueux, contraires à l’éthique et injustes de l’Ontario.
Démocratie en surveillance a besoin de votre soutien dès maintenant pour remporter toutes ces poursuites. Faites un don dès aujourd’hui !
Veuillez également cliquer ici pour envoyer une lettre aux principaux politiciens du Canada, leur demandant d’apporter des changements importants aux processus de nomination afin de garantir que des chiens de garde, et non des toutous, soient nommés à tous les postes d’application de la loi.
Consultez ci-dessous la liste des poursuites intentées par Démocratie en surveillance contre le commissaire à l’intégrité et contre les mauvais processus de nomination des toutous en Ontario :
- Affaire judiciaire contestant le système de nominations judiciaires du gouvernement Ford, le jugeant trop politiquement biaisé et donc inconstitutionnel (à partir de février 2024).
- Affaire judiciaire contestant une autre décision du commissaire à l’intégrité rendue en juin 2023, qui a permis à un autre lobbyiste de s’en tirer à bon compte, même s’il n’avait pas enregistré ses activités de lobbying, et qui a placé des politiciens en situation de conflit d’intérêts en collectant des fonds et en menant d’autres activités politiques pour eux tout en faisant du lobbying auprès d’eux (juillet 2023) on).
- Affaire judiciaire contestant une autre décision du Commissaire à l’intégrité rendue en juin 2022, qui a permis à un autre lobbyiste de s’en tirer à bon compte, même s’il était un important militant de campagne d’un politicien, qu’il a ensuite exercé des pressions sur lui après les élections pour le compte de plusieurs clients et qu’il a également omis de mettre à jour son enregistrement de lobbyiste (à partir de juillet 2022).
- Affaires judiciaires contestant six autres décisions du Commissaire à l’intégrité rendues en juin 2021, qui ont permis à six autres lobbyistes de s’en tirer à bon compte, malgré plusieurs infractions à la loi (à partir de juillet 2021).
- Intervention dans une affaire judiciaire contestant les limites imposées par le gouvernement Ford aux dépenses publicitaires préélectorales des tiers, les considérant comme une violation des droits garantis par la Charte (à partir de juillet 2021)
- Des affaires judiciaires contestent trois décisions du commissaire à l’intégrité autorisant les lobbyistes ayant fait campagne ou collecté des fonds pour des politiciens à faire pression sur eux peu après, et six décisions qui n’ont pas sanctionné les lobbyistes ayant violé gravement la loi sur le lobbying (à partir de décembre 2020).
- Des affaires judiciaires contestent le système illégal et inconstitutionnel du gouvernement Ford. Modifications apportées au système de nomination des juges des tribunaux administratifs (à partir du 16 juillet 2020)