Démocratie en surveillance poursuit le cabinet du premier ministre Harper en justice pour corruption du sénateur Mike Duffy, car les avocats du gouvernement refusent. Veuillez contribuer en faisant un don dès maintenant au Fonds des poursuites du cabinet du premier ministre Harper, et en partageant et en tweetant cette page.
Étonnamment, le sénateur Duffy a été accusé d’avoir accepté un pot-de-vin, mais personne au cabinet du premier ministre Harper ou au Parti conservateur n’a été accusé de l’avoir corrompu.
Démocratie en surveillance doit recueillir 55 000 $ pour couvrir les frais de poursuite de tous les membres du cabinet du premier ministre Harper et du Parti conservateur qui ont participé à la corruption du sénateur Mike Duffy, et pour poursuivre la campagne afin de s’assurer qu’ils soient Tous tenus responsables.
Vous pouvez aider à tenir les conservateurs de Harper responsables de leurs actes répréhensibles en faisant un don dès maintenant !
Merci pour votre soutien, Duff, Tyler, Josephine, Brad et toute l’équipe de Démocratie en surveillance.
Dernières nouvelles sur l’affaire et la campagne
Interview de l’émission « Power and Politics » de CBC TV : La GRC et les avocats du gouvernement poursuivent le sénateur Mike Duffy, mais pas Nigel Wright ni d’autres responsables du Cabinet du premier ministre et du Parti conservateur. Démocratie en surveillance va donc les poursuivre.
Contexte
Lorsque l’histoire du paiement de 90 000 $ versé par Nigel Wright, alors chef de cabinet du premier ministre Harper, au sénateur Mike Duffy a été rendue publique en avril 2013, Démocratie en surveillance a été la première à réclamer le dépôt d’accusations en vertu du Code criminel du Canada. Démocratie en surveillance a réclamé ces accusations parce que Nigel Wright a exigé du sénateur Duffy qu’il accomplisse trois choses en échange de l’argent. Démocratie en surveillance était donc d’avis que le paiement contrevenait à l’article 119 du Code criminel du Canada, qui interdit d’offrir ou de donner de l’argent ou tout autre avantage à un sénateur ou à tout autre politicien pour toute action du sénateur dans l’exercice de ses fonctions.
Démocratie en surveillance a lancé une campagne nationale de lettres demandant la nomination d’un procureur indépendant pour superviser l’enquête et prendre des décisions en matière de poursuites. Plus de 30 000 Canadiens ont envoyé une lettre aux chefs des partis fédéraux et au commissaire de la GRC, Bob Paulson.
Démocratie en surveillance est la seule organisation au Canada à exercer des pressions constantes depuis avril 2013 pour que tous les auteurs de cette affaire soient tenus responsables.
Étonnamment, malgré les preuves, la GRC a décidé de son propre chef, en avril 2014, de ne pas accuser Nigel Wright ni aucun autre membre du cabinet du premier ministre Harper. Puis, en juillet 2014, les procureurs provinciaux de l’Ontario ont décidé, de façon tout à fait incroyable, d’accuser le sénateur Duffy d’avoir accepté un pot-de-vin, mais de ne pas accuser Nigel Wright ni qui que ce soit d’autre.
Le Code criminel permet à quiconque d’intenter une poursuite privée pour certaines infractions, et Démocratie en surveillance continue de recueillir des preuves et un soutien juridique pour poursuivre en justice les responsables au sein du cabinet du premier ministre Harper pour avoir corrompu le sénateur Mike Duffy, car les avocats du gouvernement refusent de le faire.
Veuillez aider à tenir ces conservateurs de Harper responsables de leurs actes répréhensibles en faisant un don dès maintenant au Fonds des poursuites du cabinet du premier ministre Harper.